Cela vous aura peut-être échappé, mais ce mardi, c’est le 8 mars, la Journée Mondiale des Droits des femmes. Contrairement à la journée mondiale du tricot, cette journée a son importance et son histoire. À l’origine, ce sont les mouvances socialistes et pacifistes aux États-Unis et en Europe qui, au début du XXe siècle, ont mis en place des journées de mobilisation. Il est en effet important de noter que le 8 mars n’a pas toujours eu lieu le 8 mars. La première journée nationale de la femme a eu lieu il y a plus d’un siècle, le 28 février 1909 au pays de l’oncle Sam. Cette date ne doit rien au hasard : elle commémore un mouvement spontané de travailleuses et d’immigrés faisant grève pour réclamer davantage de droits, notamment au travail. Il faut dire qu’à l’époque, tous les employeurs n’étaient pas aussi responsables que les fournisseurs étiques de Funzee et que tous les pyjamas n’étaient pas fabriqués dans les meilleures conditions pour les travailleurs et les travailleuses… À titre de comparaison, en France, presque à la même époque (1916), l’interdiction du travail de nuit pour les femmes de moins de 18 ans était déjà considérée comme une avancée sociale… Nos pyjamas en polaire étaient encore loin d’exister à cette époque.
Rapidement, l’idée d’une journée des droits des femmes se propage et est reprise à travers le monde. Une journée internationale célébrée le 19 mars 1911 sera largement suivie. Il faudra toutefois attendre le 8 mars 1977 et une résolution des Nations Unies pour la date définitive soit fixée. En France, cette journée sera reconnue sous le gouvernement Mitterrand en 1982.
Aujourd’hui et comme il y a un siècle, la visée de cette journée reste féministe. C’est la journée au cours de laquelle il est possible de faire le point sur les avancées enregistrées en matière d’égalité homme-femme et le travail qui reste à faire. Et force est malheureusement de constater qu’il reste du travail : en France, par exemple, une femme peut certes voter, ouvrir un compte en banque et travailler sans demander l’accord de son mari ou de son père, mais elle reste toujours moins payée que ses homologues masculins pour un poste équivalent. Elle est également moins présente dans les conseils d’administration et au Parlement (actuellement 422 hommes contre seulement 150 femmes.) L’amélioration générale des conditions de vie des femmes, et notamment leur autonomisation, passe aussi par le choix de fournisseurs éthiques : « La discrimination basée sur le genre condamne souvent les femmes à des emplois précaires et mal rémunérés et ne permet qu’à une faible minorité d’entre elles d’atteindre des postes élevés, » comme le rappelle le site de l’ONU dédié à la cause des femmes.
Aussi, le 8 mars, il est important de se rappeler tout ce qu’il reste à faire pour parvenir à une société plus égalitaire et il est important de manifester. Des manifestations sont organisées dans toutes les villes du monde et, en dehors des marches traditionnelles, il y en a pour tous les goûts : projections, débats, concerts, ateliers… Renseignez-vous sur les sites de la mairie de votre ville, vous trouverez nécessairement quelque chose. À Marseille, par exemple, la ville organise une conférence sur le thème « Femmes et santé » au Musée d’Histoire ce mardi à partir de 13h45.
Et parce qu’il est important de bien dormir pour être en bonne santé, pensez à essayer nos pyjamas en polaire. Parce qu’ils tiennent chaud et parce qu’ils sont doux, ils vous aideront à récupérer pour poursuivre jour après jour le combat pour un monde meilleur. Autre avantage de nos pyjamas en polaire : nos fournisseurs éthiques versent aux hommes et aux femmes qu’ils emploient un revenu décent. Nous vérifions régulièrement leurs bonnes pratiques. Dernier avantage : ils sont unisexes. De quoi réduire un peu les inégalités dans la chambre à coucher…